L'étonnante Ophélie

Ophélie, une femme souriante, positive, de compagnie fort agréable. Point d'intérêt : elle avait une sainte horreur des curés qui sont, comme on le sait, une engeance un peu spéciale...

Micheline

J'avais le goût de dessiner ce soir : pourquoi m'en priver ?

Pause et nouveau départ (encore !)

Je fais une pause, mes crapauds, bien que je ne fasse pas partie des vaillants de la fonction publique!

Raison: je lève les feutres pour aller retrouver mes amis qui m'ont manqué. Huit ans déjà que je tripote Montréal l'artificielle où je suis venu parfaire mes connaissances en dessin 3D. J'ai aimé vivre ici où j'ai fait la rencontre de Joanie, un ange au sourire magnifique que j'adorais, mais que la vie a propulsée ailleurs dans un nuage de malentendus. « La précipitation est la source de bien des maux! » clament les Grecs avec sagesse (quand ils ne font pas de ramonage!).

Je retourne chez les miens et je compte, un peu avant novembre, quand je me serai suffisamment peinturé le museau lors du déménagement, revenir rédiger pour vous, Internautes, le blogue que vous lisez et que vous m'encouragez à poursuivre. Rendez-vous donc en novembre avec d'autres dessins et d'autres textes en forme de pelures de banane!

Nos amis

Pour partager nos joies, montrer nos trésors, exprimer nos peines, vivre le moment présent, brasser des idées... et souvent se faire brasser...

Le trajet des oiseaux

Les oiseaux suivent-ils un trajet prédéterminé ? Leur avenir est-il tracé d'avance ? Et nous, qui pensons contrôler notre vie comme bon nous semble, jusqu'à quel point pouvons-nous faire dévier la courbe de son axe pour aller putasser avec la belle Yvonne qui nous attend sur son sofa de soie ??? (rires)

Nager est aussi un combat !

J'ai lu dans le journal de ce matin cette phrase formidablement humaine d'une personne handicapée : « La vie est plus importante que toutes les difficultés qu'on peut rencontrer. » À méditer, les jours gris...

Réflexion sur la vie : Un matin de Noël

Des êtres qu'on aime profondément réchauffent nos cœurs par leur sourire magnifique qui éclate dans la « Brûlerie... » de la vie. Des êtres si fragiles qu'ils se protègent par des gestes forts, irréversibles.

Irréversibles ? Vraiment ? J'en doute, car je crois que le pardon n'existe précisément que pour les choses impardonnables. Serait-on allé trop loin ? L'être humain a le cœur large, plus vaste et plus généreux que les océans...

Souvent dans la vie, sans devoir piler sur son orgueil bien légitime, le seul fait de manifester même son ombre est déjà perçu comme un beau matin de Noël.