dimanche 18 décembre 2016

Pause pour la période des Fêtes.

Comme d'habitude, je fais un pause pour la période des Fêtes. Je reviendrai vers le 8 janvier sur deux pattes ou sur une patte, si le vin ou la bière est bonne. Si on me sert de la piquette, je fais ma demande d'admission au Grand Séminaire, étant donné que je suis presque chaste et quasiment pur. Je n'ai pas la vocation c'est évident, mais quelle idée d'avoir la vocation quand les curés passent plus de temps dans les cours de justice que dans les églises. Méditons, mes frères... (C'était ma B.A. du jour !)

Je remercie tous les Internautes qui m'ont fait le plaisir de visiter mon site de recherche graphique et je vous souhaite à tous une Bonne et Heureuse Année !

Mémère s'est faite belle pour la messe de minuit !


jeudi 15 décembre 2016

Lampe bizarre


Je lui ai proposé une soirée à la chandelle, mais elle avait déjà sa propre chandelle... Alors, j'ai dû me contenter d'une lampe un peu bizarre...

L'ouverture danoise


Réputée par les joueurs d'échecs chevronnés comme très risquée. Comme amateur, je l'ai utilisée une fois en tournoi contre une petite Russe qui m'a mangé tout rond : au fond, pouvais-je demander mieux ?

mardi 13 décembre 2016

Le Brummel sans brume...


Dans les yeux... Sculpture 3D.

dimanche 11 décembre 2016

Montréal, ville immobilière

Les nombreuses transactions et l'argent qui circule attirent une faune bien spéciale... (C'est ma minute commerciale !)

Harmonie en noir


jeudi 8 décembre 2016

La pluie est traversière (Brel)


« Elle bat de grain en grain » (Brel)

dimanche 4 décembre 2016

L'orphelin


Je suis un homme
Si seul dans sa plaine


J'avance vers je-ne-sais-où


Je ne comprends
Ni le sens de ma route
Ni le sens de ma vie


Que vais-je devenir ?


Mes pas ne laissent
Aucune trace visible
Et mon corps va se défaire
Comme la chevelure tressée
De celle qu'on aime


La tendresse a roulé sur moi
Comme roule le tambour
Des marches militaires


Je suis à la fin du repas
Avec mes rudes souvenirs
Comme restes de table


Il m'arrive de pleurer
Quand les lundis sont trop longs
Quand les fleurs se terrent
Quand mes mers s'agitent


Je me rappelle Lucie
Fraîche comme la fougère
Du printemps
Quand le vent indiscret
Me souffle au visage
Son parfum disparu


Son âme triste s'abritait
Sous le parapluie de ses yeux rieurs


Elle m'habite
Maintenant


Une interrogation brûlante
Clignote dans ma nuit :
Qu'adviendra-t-il de moi ?


Pourquoi suis-je là ?


Je n'ai pas le cœur à célébrer
Celles que j'aurais pu aimer
Celles que j'aurais pu connaître


Je marche dans un désert si vaste
Poussière d'étoile
Et orphelin


Denis Rheault

Montréal, le 3 décembre 2016

vendredi 2 décembre 2016

Hommage à un ami


Le bien le plus précieux qu'on puisse avoir sur la planète Terre.

Tournée générale