Elle est communicative, du moins je l'espère.
Bonne journée, mes amis.
Note : faites un clic au milieu de l'image pour la voir en détails
Images et écrits de Denis Rheault: humeurs, grains de poésie, coups de griffes et images que vous pouvez acheter. Et si ça vous chante, vous pouvez simplement m'envoyer un petit mot. Mon courriel : rheaultd4@gmail.com
Bonne journée, mes amis.
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Cet endroit, c'est un petit studio que je suis en train d'aménager. Il me reste à couvrir les fenêtres avec des rideaux bien serrés, un peu comme une sainte sœur qui se voile la noune pour ne pas être abusée par son confesseur, et fignoler quelques menus détails.
Sans être complètement infidèle, cette année, j'ai nourri avec moins de régularité le blogue que vous me faites l'honneur de lire. Je n'ai pas goûté l'ivresse des champs comme le préfet d'Alphonse Daudet dans les Lettres de mon moulin, mais j'en ai profité pour étudier quelques nouvelles techniques en 3D et monter les images d'une exposition que je compte faire plus tard avec des images que je mets en réserve pour m'assurer qu'elles ne soient pas copiées.
Voici trois photos qui représentent mon nouvel environnement. Sur l'une d'elles, apparaît mon frère Léo-Paul qui m'a aidé à accrocher au mur mon écran de 65 pouces qui me permet de constater les désastres que je suis en train de faire...
La liberté chinoise ?
De l’ère impériale
Du règne de Qin
À la dynastie des Qing
Jusqu’aux bandits d’aujourd’hui
Dont le poltron Mao Tsé-Toung
Les Chinois n’ont jamais vécu
Autrement
Que dans la servitude
Le peuple chinois
Au cours de son histoire
A tellement souffert
Qu’il a perdu la force de réagir :
Les fantoches au pouvoir
On tétanisé sa résistance
Le mot « liberté » terrifie ces chiens
Plus qu’un typhon qui se déchaîne
Sur une mer indomptable
Ils n’osent l’entendre, ni le chuchoter
Tant il déchire leurs tympans
Place Tiananmen
Des chars d’assauts téléguidés
Par des dirigeants psychopathes
Plus dangereux que des fous
Ont tué des étudiants
Qui aspiraient à la liberté
S’il fallait qu’un seul Chinois soit libre
Qu’il puisse rêver
Et respirer sans entrave
Leur empire s’écroulerait
Tel un château de sable
Avec la muraille de Chine
En ce pays-prison
Les écrivains vivent
En résidence surveillée
Par des caméras du Parti
Elles mêmes épiées par d’autres caméras