lundi 30 septembre 2024

Sur Mars



Première sculpture sur la Planète Mars... 

Note : Faites un clic sur l'image pour l'agrandir...

mercredi 25 septembre 2024

Un film de Pierre-Fortunat Pinsonneault, artiste-photographe, dans sa version française

 

Un film sur Pierre-Fortunat Pinsonneault, artiste-photographe, dans sa version française

 

Un film que j'ai vu et adoré, tant par sa qualité visuelle et esthétique que par son intérêt historique.


Gilles Roux, photographe professionnel, cinéaste et artiste, a réalisé un film d'une grande beauté qu'on peut voir gratuitement et sans mot de passe sur You Tube en cliquant sur le lien suivant :

https://youtu.be/QgmUWLIjFH0

Cet excellent film, traité avec grand art, nous présente le photographe trifluvien Pierre-Fortunat Pinsonneault qui a réalisé des images sur l'incendie qui a ravagé Trois-Rivières, au début du siècle passé, et des portraits de personnes vivant dans son entourage. 

Gilles Roux trace dans ce film le portrait du grand photographe Pinsonneault à travers ses images.

En cinéaste consciencieux, Gilles Roux, a mené pendant des années des recherches sur l'artiste Pinsonneault et a rassemblé dans son film des centaines d'images d'une rare beauté. À voir absolument. C'est en français et c'est gratuit.

Les images sont à couper le souffle. Intérêt garanti. Je vous le suggère fortement.

mardi 24 septembre 2024

Le titre ?


 J'ai le titre sur le bout de la langue... Il y a des jours comme ça !

Une histoire d'amour...


 Avec ses dents de loup, enrobées de soie... ou de soi !

jeudi 19 septembre 2024

Nuit avec le Saint-Pépère


 Je m’appelle l’abbé Daine. J’appartiens à l’ordre des Jésuites et on m’a chargé d’une mission délicate : je dois rencontrer le Saint-Pépère du Fatiguant pour lui demander une copie de la clé du Paradis qui se trouve cachée dans son slip. Une religieuse de haut-niveau intellectuel, l’abbesse Sainte-Nitouche, que j’appelle familièrement ma poule, doit m’accompagner. Elle a traduit la Bible mot à mot, en passant de l’arménien au grec, du grec au latin, du latin à l’anglais, de l’anglais à l’espagnol et enfin de l’espagnol au français. C’est dire qu’on ne peut avoir une traduction plus fiable de la Bible. Pour sa mission d’assistance, elle a apporté avec elle une robe de nuit anti-péché transparente et un lot de cierges qui lui serviront d’arme secrète quand ses mains douces et bénies s’approcheront de la zone cible : le bas du dos du pape. De mon côté, profitant de cette diversion, je m’emparerai de la clé du Paradis et la sœur et moi fileront à l’anglaise. On aurait préféré quitter les lieux en français, mais le pape, en s’apercevant qu’on lui aura subtilisé la clé du paradis que lui a auparavant remis en mains propres le bon Saint-Pierre, qui rarement se lave les mains, jurera en espagnol des invectives qui attireront les gardiens.
Avec ce plan, ce plan de Blanc (car on en pas en Afrique), nous arrivons, ma poule, l’abbesse Sainte-Nitouche, et moi dans la place Saint-Pierre. C’est minuit et le lot de vieilles folles, qui viennent se frotter contre les colonnes de marbre de la Basilique pour raffermir leur poitrine et leur foi, a diminué. Ici et là, quelques prélats, étendus sur le marbre de la nef, en se prélassant les yeux fixés sur la page 7 de l’Osservatore Romano, le journal porno du Vatican, cuvent leur vin de messe qui ce jour-là était meilleur que la pisse servie aux noces de Cana.
Vous voyez un peu l’ambiance et nous les envoyés de Dieu, pour opérer cette action délicate, nous avançons lentement en faisant semblant de dire des prières suivant la méthode conseillée par les apôtres quand ils en ont profité pour prendre la poudre d’escampette quand leur chef a été arrêté par des soldats. Alors, mine de rien, ma poule et moi, prenons l’escalier qui conduit dans la partie réservée au pape. Chemin faisant, nous croisons moult religieuses qui s’en vont se coucher emportant avec elles des lampions plus ou moins gros, pour un usage indéterminé. Ma poule me glisse à l’oreille : « Il doit y avoir une raison ; d’après ce que j’ai appris au noviciat, ce sont des cierges de Pâques, car ils sont plus gros que les cierges de Noël ! Mais j’ignore tout à fait à quoi ils peuvent servir. » J’ai répondu que j’avais déjà confessé la femme d’un maire de Montréal qui en faisait un usage effréné, méthodique et obsessionnel. Jamais elle n’avait pu se départir de cette habitude dont l’usage est toléré par la sainte Église.
Nous voici au troisième étage, celui des appartements privés du Saint-Pépère. Des gardes Suisses postés à l’entrée d’une chambre font la garde. Ma poule et moi éructons un chant religieux et en voyant ma soutane pourpre et mon anneau de cardinal que généralement je place dans mon anus et non dans mon annulaire, nous libèrent le passage. Je suis très étonné que l’accès de la chambre du pape soit si facile. Le pape n’est pas couché, il vient tout juste de prendre une douche avec son enfant de chœur et s’apprête à le frotter. En nous apercevant, Saint-Pépère nous dit : c’est uniquement pour économiser l’eau chaude que je prends ma douche ainsi. La Banque du Vatican est en mauvaise posture depuis que les mafieux n’ont plus la possibilité de faire des dépôts chez nous. Nous devons prendre des mesures préventives. Puis se tournant vers le jeune homme, il lui dit en latin : « Pousse-toi, mon petit chou. Je ne te fais pas la bise, mais je te dis bis. À demain, ma catin !»
Le pape s’enquiert de la raison de notre visite mais sa journée à été si pénible, il a dû recevoir des dizaines de visiteurs et un nombre incalculable de fatigantes qui lui demandent toutes de prier pour lui. Complètement épuisé, il s’endort.
Ma sœur accompagnatrice monte sur le lit, elle s’approche du Saint-Pépère et elle lui frotte le dos pendant que je mets ma main dans le slip du pape pour m’emparer de la clé du Paradis. Surprise ! il n’y a rien dans son slip, sinon une grosse marmotte indolente et paresseuse qui dort depuis longtemps. Où est donc la fameuse clé ? On a eu beau chercher, ma poule et moi, on ne trouve rien. Que faire ? Ma poule dit : « On va brasser la marmotte.» « Ne fais pas cela, tu vas la réveiller ! » La marmotte commence à bouger. Surprise de nous voir, elle pousse un cri et ce cri libère la clé du Paradis qui gisait au fond de son gosier.
Mission accomplie : ma poule et moi revenons à Montréal avec la clé et pour être bien certain qu’elle ne sera pas volée, nous la déposons délicatement dans le slip de la mairesse de Montréal. Elle est ravie !

mardi 17 septembre 2024

Oiseaux singuliers


 J'aime bien dessiner des oiseaux... je dois être un drôle de moineau. 

mardi 10 septembre 2024

Le soleil se prépare...


 Pour l'automne...

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mardi 3 septembre 2024

Deux ou trois choses que je sais d'elle !


 Pas beaucoup plus... et vous, la connaissez-vous davantage ?

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