Réaction de Jean-Luc Mélanchon après l'arrestation de Boualem Sansal

 La fameuse gauche française...

Le baiser

 Dans la vie on est parfois témoin de choses intimes !

Notez ma nouvelle adresse courriel : rheaultd4@gmail.com

Vous pouvez m'écrire à mon nouveau courriel, si vous le désirez, et je vais vous répondre si possible.

Kailani

 

Kailani, princesse Hawaïenne, la quatrième fille de sa mère, mais la septième de son père.

Petite fleur

 Petite fleur

Une petite fleur

Vivait seule dans un champ

À l’ombre d’un grand chêne

Tous les passants

La trouvaient malheureuse :

Que fais-tu là, pauvre créature,

Pendant que tes consoeurs se rendent utiles

À embellir les jardins publics

À procurer du bonheur

Aux vieilles dames désoeuvrées

À illuminer le coeur des amoureuses

La petite fleur se désolait

De cette opinion négative

Mon parfum, se disait-elle,

A une senteur aussi raffinée

Que celui des fleurs de la ville

Pourquoi dans cet endroit

Qui m’a vue naître

Je devrais vivre rivée sur ma tige

Un oiseau flamboyant

Traversa le ciel

Son plumage vif

Comme un tison rouge

Attirait tous les regards

Voyant la petite fleur toute seule

Au milieu de la prairie

Il lui dit : Comme je t’envie

Chère petite

Les bruits du monde ne t’atteignent pas

Ni les commentaires jaloux

Des gens qui me regardent

Filer comme une flèche dans le ciel

En critiquant mon vol, mon allure

Ou ma destination

Ils prétendent que je suis inutile

Que je ne fais que parader

Des jours entiers

Et que je vis en parasite

Comme un aristocrate

Qui se sent supérieur

Alors que toi, personne

Ne te couvre de mépris

Ou d’insultes

Tu vis comme bon te semble

Tu récoltes l’eau de pluie

Tu permets aux abeilles de vivre

Et si parfois la solitude te serre

Dans ses bras étouffants

Remercie pourtant le ciel

De t’avoir fait naître ici

Loin des soucis, loin des tracas

Accepte ton rôle de fleur

Et apprécie ce cadeau de la vie :

Tu es libre

Et c’est toi la meilleure amie du Soleil

Denis Rheault, Trois-Rivières

Ce 19 octobre 2024

Planètes

 

Nouvelles couleurs

 Ou si vous préférez... de nouvelles couleurs pour l'oiseau. J'aime bien cette version et vous ?

Faites un clic sur l'image pour l'agrandir. Bonne journée !

Décrochez

 

Un projet sur lequel j'ai travaillé plusieurs mois.

Encore l'automne

 Et les oiseaux nous quittent...

Faites un clic sur l'image pour l'agrandir.

Florence

 Une simple sculpture

Note : faites un clic sur l'image pour l'agrandir.

Sur Mars

Première sculpture sur la Planète Mars... 

Note : Faites un clic sur l'image pour l'agrandir...

Un film de Pierre-Fortunat Pinsonneault, artiste-photographe, dans sa version française

 

Un film sur Pierre-Fortunat Pinsonneault, artiste-photographe, dans sa version française

 

Un film que j'ai vu et adoré, tant par sa qualité visuelle et esthétique que par son intérêt historique.

Gilles Roux, photographe professionnel, cinéaste et artiste, a réalisé un film d'une grande beauté qu'on peut voir gratuitement et sans mot de passe sur You Tube en cliquant sur le lien suivant :

https://youtu.be/QgmUWLIjFH0

Cet excellent film, traité avec grand art, nous présente le photographe trifluvien Pierre-Fortunat Pinsonneault qui a réalisé des images sur l'incendie qui a ravagé Trois-Rivières, au début du siècle passé, et des portraits de personnes vivant dans son entourage. 

Gilles Roux trace dans ce film le portrait du grand photographe Pinsonneault à travers ses images.

En cinéaste consciencieux, Gilles Roux, a mené pendant des années des recherches sur l'artiste Pinsonneault et a rassemblé dans son film des centaines d'images d'une rare beauté. À voir absolument. C'est en français et c'est gratuit.

Les images sont à couper le souffle. Intérêt garanti. Je vous le suggère fortement.

Le titre ?

 J'ai le titre sur le bout de la langue... Il y a des jours comme ça !

Une histoire d'amour...

 Avec ses dents de loup, enrobées de soie... ou de soi !

Nuit avec le Saint-Pépère

 Je m’appelle l’abbé Daine. J’appartiens à l’ordre des Jésuites et on m’a chargé d’une mission délicate : je dois rencontrer le Saint-Pépère du Fatiguant pour lui demander une copie de la clé du Paradis qui se trouve cachée dans son slip. Une religieuse de haut-niveau intellectuel, l’abbesse Sainte-Nitouche, que j’appelle familièrement ma poule, doit m’accompagner. Elle a traduit la Bible mot à mot, en passant de l’arménien au grec, du grec au latin, du latin à l’anglais, de l’anglais à l’espagnol et enfin de l’espagnol au français. C’est dire qu’on ne peut avoir une traduction plus fiable de la Bible. Pour sa mission d’assistance, elle a apporté avec elle une robe de nuit anti-péché transparente et un lot de cierges qui lui serviront d’arme secrète quand ses mains douces et bénies s’approcheront de la zone cible : le bas du dos du pape. De mon côté, profitant de cette diversion, je m’emparerai de la clé du Paradis et la sœur et moi fileront à l’anglaise. On aurait préféré quitter les lieux en français, mais le pape, en s’apercevant qu’on lui aura subtilisé la clé du paradis que lui a auparavant remis en mains propres le bon Saint-Pierre, qui rarement se lave les mains, jurera en espagnol des invectives qui attireront les gardiens.
Avec ce plan, ce plan de Blanc (car on en pas en Afrique), nous arrivons, ma poule, l’abbesse Sainte-Nitouche, et moi dans la place Saint-Pierre. C’est minuit et le lot de vieilles folles, qui viennent se frotter contre les colonnes de marbre de la Basilique pour raffermir leur poitrine et leur foi, a diminué. Ici et là, quelques prélats, étendus sur le marbre de la nef, en se prélassant les yeux fixés sur la page 7 de l’Osservatore Romano, le journal porno du Vatican, cuvent leur vin de messe qui ce jour-là était meilleur que la pisse servie aux noces de Cana.
Vous voyez un peu l’ambiance et nous les envoyés de Dieu, pour opérer cette action délicate, nous avançons lentement en faisant semblant de dire des prières suivant la méthode conseillée par les apôtres quand ils en ont profité pour prendre la poudre d’escampette quand leur chef a été arrêté par des soldats. Alors, mine de rien, ma poule et moi, prenons l’escalier qui conduit dans la partie réservée au pape. Chemin faisant, nous croisons moult religieuses qui s’en vont se coucher emportant avec elles des lampions plus ou moins gros, pour un usage indéterminé. Ma poule me glisse à l’oreille : « Il doit y avoir une raison ; d’après ce que j’ai appris au noviciat, ce sont des cierges de Pâques, car ils sont plus gros que les cierges de Noël ! Mais j’ignore tout à fait à quoi ils peuvent servir. » J’ai répondu que j’avais déjà confessé la femme d’un maire de Montréal qui en faisait un usage effréné, méthodique et obsessionnel. Jamais elle n’avait pu se départir de cette habitude dont l’usage est toléré par la sainte Église.
Nous voici au troisième étage, celui des appartements privés du Saint-Pépère. Des gardes Suisses postés à l’entrée d’une chambre font la garde. Ma poule et moi éructons un chant religieux et en voyant ma soutane pourpre et mon anneau de cardinal que généralement je place dans mon anus et non dans mon annulaire, nous libèrent le passage. Je suis très étonné que l’accès de la chambre du pape soit si facile. Le pape n’est pas couché, il vient tout juste de prendre une douche avec son enfant de chœur et s’apprête à le frotter. En nous apercevant, Saint-Pépère nous dit : c’est uniquement pour économiser l’eau chaude que je prends ma douche ainsi. La Banque du Vatican est en mauvaise posture depuis que les mafieux n’ont plus la possibilité de faire des dépôts chez nous. Nous devons prendre des mesures préventives. Puis se tournant vers le jeune homme, il lui dit en latin : « Pousse-toi, mon petit chou. Je ne te fais pas la bise, mais je te dis bis. À demain, ma catin !»
Le pape s’enquiert de la raison de notre visite mais sa journée à été si pénible, il a dû recevoir des dizaines de visiteurs et un nombre incalculable de fatigantes qui lui demandent toutes de prier pour lui. Complètement épuisé, il s’endort.
Ma sœur accompagnatrice monte sur le lit, elle s’approche du Saint-Pépère et elle lui frotte le dos pendant que je mets ma main dans le slip du pape pour m’emparer de la clé du Paradis. Surprise ! il n’y a rien dans son slip, sinon une grosse marmotte indolente et paresseuse qui dort depuis longtemps. Où est donc la fameuse clé ? On a eu beau chercher, ma poule et moi, on ne trouve rien. Que faire ? Ma poule dit : « On va brasser la marmotte.» « Ne fais pas cela, tu vas la réveiller ! » La marmotte commence à bouger. Surprise de nous voir, elle pousse un cri et ce cri libère la clé du Paradis qui gisait au fond de son gosier.
Mission accomplie : ma poule et moi revenons à Montréal avec la clé et pour être bien certain qu’elle ne sera pas volée, nous la déposons délicatement dans le slip de la mairesse de Montréal. Elle est ravie !

Oiseaux singuliers

 J'aime bien dessiner des oiseaux... je dois être un drôle de moineau. 

Le soleil se prépare...

 Pour l'automne...

Note : faites un clic sur l'image pour l'agrandir

Deux ou trois choses que je sais d'elle !

 Pas beaucoup plus... et vous, la connaissez-vous davantage ?

Faites un clic sur l'image pour l'agrandir.

Les amoureux

 Note : faites un clic sur l'image pour l'agrandir.

De retour

1.  De retour… 

Chers amis Internautes, je vais poursuivre ma route un brin 

cahoteuse en votre compagnie en réduisant quelque peu ma 

cadence avant que la boucane ne me sorte par les oreilles et 

que je devienne rouge comme un coq. Aussi, je vais sans 

doute diminuer la fréquence de mes passages sur ce blogue, 

car je n’ai pas l’ambition d’établir de record.

J’aime dessiner simplement, ou à l’occasion, en réprimant un 

sacre, glisser quelques mots, hypocritement doux, pour ne 

pas heurter les oreilles de mes princesses du web, afin de 

vous faire partager mes modestes trouvailles, en vous traitant 

comme des amis.

La passion de la découverte et l’intérêt de l’étude m’ont mis 

le feu au derrière toute la vie ; je n’ai pas le feu de l’Esprit-Saint, 

mais j’ai le feu au cul ! Et je veille sur ces deux bougies 

d’allumage qui me serviront pour un temps que j’ignore…

Les Grecs anciens, qui me faisaient suer au collège, en plus 

de mon coiffeur qui adorait me faire des scalps quand j’avais 

de si beaux cheveux, prétendaient que l’inactivité est la 

source de bien des maux. Aussi, je veille à me tenir occupé, 

sachant que la meilleure parade contre l’ennui et le meilleur 

remède pour la santé, c’est l’action.

Alors, étudie, dessine et écris, mon Denis… et comme on dit 

sur les ondes de Radio-Canada : « Si tu comptes avoir une 

subvention, montre bien ton nom (NON) ! »

Canards dans la nuit

 Pendant mes vacances (non terminées) j'ai fait ce tableau de canards dans la nuit que vous pouvez acquérir pour 2000$ (format 18X24 encadré). Si ça vous chante, envoyez-moi un courriel denisro101@gmail.com

La Justice

 Réflexion de vacances ou le retour de la belle-mère !

Pause estivale

 Pause estivale

Des nouvelles ! Cet été, je vais déménager dans une nouvelle résidence, plus pratique et mieux située. Je compte aussi faire du vélo avec mon petit bolide neuf : une bicyclette électrique nourrie de testostérone et prête à fendre le vent (en soulevant les jupes des filles, comme dirait Souchon) !
En somme, je vais prendre ça mollo ! Ensuite, l'été, le soleil, la nature me guideront vers septembre où j'espère vous retrouver.
J'ai bien apprécié l'aide et la confiance que vous m'avez apportées et qui ont facilité mes recherches.
Les pieds dans l'eau, longeant les cours d'eau, buvant l'eau de la pluie, marchant en forêt, sillonnant les routes... voilà mon programme et contrairement à celui des politiciens, il est réalisable.

Profitez de l'été, chers amis.

Et si on mettait les voiles ?

Un second souffle ?

Faites un clic sur l'image pour mieux la voir.

Mademoiselle vous met au défi !

C'est difficile de dessiner les femmes : elles parlent tout le temps ! Je songe à aller dessiner des soeurs cloîtrées dans leur réfectoire... mais si elles se mettent à chanter des cantiques : je suis dans la merde !

La descente de lit de l'ours

 

Je suis encore dans le Nord. En autant que je ne le perde pas... (rires)

Vous pouvez agrandir l'image en cliquant dessus.

Deux otaries chassent l'ennui

 Peut-être...

Faites un clic sur l'image pour vous rafraîchir l'oeil...

Le vert tendre printemps...

 

Faites un clic sur l'image pour l'agrandir et pour mieux respirer l'air du printemps...

Grande reine africaine

 

Faites un clic sur l'image pour la voir en gros plan

Nuit

 

Nuit

Dans son grand carrosse d’or

Le soleil se retire

Comme un roi 

Quitte ses hôtes

Tout est si noir

Les arbres ont revêtu

Leur manteau d’ébène

La campagne retient son souffle

L’odeur du feuillage

Et le parfum des fleurs

Sont suspendus

Dans le voile de la nuit

Les nuages flottent

Sur un grand ballon

Silencieux

L’homme et la femme

Unissent leur corps

Et leur coeur

La nuit couve 

Son silence

Comme une poule

Protège ses oeufs

Là-bas bien au Nord

Les banquises font miroiter

Des parcelles de Lune

Pendant que les loups

Essaient de la croquer

Et dans les chaumières

Les enfants du monde

Galopent sur leurs chevaux

Trois-Rivières, ce11 mai 2024
Denis Rheault

Brassage...

 

Tout est mouvement dans l'univers, l'art aussi... même si on nous présente le contraire.

Note : Faites un clic sur le triangle dans l'image pour voir la vidéo et ensuite pressez le bouton « Plein écran » pour l'agrandir.

La route à suivre ?

 

Les otaries se posent la même question existentielle que nous : quelle est la route à suivre ?

Note : faites un clic sur l'image pour la voir en grand format.

Les chats en question

Hubert désirait avoir un chien et, comme il avait été impoli envers son institutrice, sa mère pour le punir lui dit : « Mon petit Hubert, ton chat est mort !» (rires facultatifs...)

Trois oiseaux en vol serré...

S'ils avaient la même liberté, ce ne sont pas les Chinois qui s'en plaindraient !

Faites un clic sur l'image pour la voir en grand format.

Trois pièces

 Déclinées sur fond gris...

Quel temps fera-t-il demain ?

Le printemps varie... (et bien follet qui s'y fie!)

Faites un clic sur l'image pour la voir en grand format.

Mon père aimait les arbres

 Mon père aimait les arbres et en particulier les érables. Dans la cour de notre maison, il en avait planté six et, chaque année, au printemps, il cueillait l'eau d'érable et la faisait bouillir pour notre plus grande joie...

Quand la mer s'agite

 

Ainsi va notre âme...

Faites un clic sur l'image pour la voir en plus grand format.

Fleurs printanières

 Demain l'hiver, je m'en fous, je m'en vais au soleil... (Charlebois)

Arrêtez-vous cinq secondes...

 Le temps d'un long soupir apaisant...

Racontez-moi une histoire

 J'ai envie de l'écouter...

Faites un clic au centre de l'image, en grand format, elle est mise en relief.

Mes coordonnées (blogue et courriel)

Oui, vous pouvez m'envoyer vos commentaires ; ça fait toujours plaisir de vous lire même si vous divergez d'opinion avec moi ou qu'un de mes dessins vous hérisse...

L'Homme-lion

 Il se croit fort, mais l'est-il vraiment ?

Cristaux de février

 Je poursuis mes explorations, peu à peu, grâce à votre encouragement.

 La vie

Quand la vie est trop lourde à porter

Que ton coeur frisonne de peurs innombrables

Que demain te paraît déjà trop loin encore

Que tu as besoin de tendresse et d'amour

Et que tu traînes tes pas sur le sable de tes peines

Que tes amis regardent ailleurs

Que tu te sens perdu

Ouvre toute grande ta bouche

Et montre tes dents riantes

Au soleil, au vent, à la pluie

Et dis merci à la vie d'être là

Denis Rheault

Trois-Rivières

Ce 31 janvier 2024

Note : je brûlais de partager ces quelques mots avec vous, mes amis, même si je suis en vacances !

Vacances

 Je prends des vacances jusqu'à la fin du mois de Février 2024. Rien de prévu, sauf de l'air pur, de la marche et un peu d'ennui pour me permettre de brasser des idées nouvelles et faire de nouvelles images.
À bientôt, mes amis.