mardi 29 novembre 2022

La bonne humeur de l'oncle Armand


Elle est communicative, du moins je l'espère. 

Bonne journée, mes amis.

Note : faites un clic au milieu de l'image pour la voir en détails

dimanche 27 novembre 2022

Des nouvelles personnelles

 






Note : faites un clic au centre des images pour les agrandir.

Non, je n'ai pas bouffé de viande avariée, en provenance du supermarché qui n'a rien de super, pour réduire ma facture alimentaire et faire jouir mon boucher salace et vorace. Je n'ai pas non plus fait mon admission au sein d'une secte tolérant la pédophilie, je n'ai pas pris mon envol vers les îles pour tromper mon ennui, tout simplement j'ai changé mon environnement, mon espace de travail de tous les jours et j'ai pensé vous montrer l'endroit où j'écris mes bêtises et dessine ma peinture à numéro avec mes ordinateurs.

Cet endroit, c'est un petit studio que je suis en train d'aménager. Il me reste à couvrir les fenêtres avec des rideaux bien serrés, un peu comme une sainte sœur qui se voile la noune pour ne pas être abusée par son confesseur, et fignoler quelques menus détails.

Sans être complètement infidèle, cette année, j'ai nourri avec moins de régularité le blogue que vous me faites l'honneur de lire. Je n'ai pas goûté l'ivresse des champs comme le préfet d'Alphonse Daudet dans les Lettres de mon moulin, mais j'en ai profité pour étudier quelques nouvelles techniques en 3D et monter les images d'une exposition que je compte faire plus tard avec des images que je mets en réserve pour m'assurer qu'elles ne soient pas copiées.

Voici trois photos qui représentent mon nouvel environnement. Sur l'une d'elles, apparaît mon frère Léo-Paul qui m'a aidé à accrocher au mur mon écran de 65 pouces qui me permet de constater les désastres que je suis en train de faire...

vendredi 18 novembre 2022

Lucianne ... la fée romantique


 J'ai toujours aimé les fées, un peu comme les femmes aiment les princesses...

mardi 1 novembre 2022

Le professeur Narton


 Il faut bien s'amuser un peu ; on ne peut pas toujours parler de la spiritualité de la Bienheureuse Soeur Agace !

vendredi 28 octobre 2022

La liberté chinoise

 La liberté chinoise ?


De l’ère impériale

Du règne de Qin 

À la dynastie des Qing

Jusqu’aux bandits d’aujourd’hui

Dont le poltron Mao Tsé-Toung

Les Chinois n’ont jamais vécu

Autrement

Que dans la servitude


Le peuple chinois

Au cours de son histoire

A tellement souffert

Qu’il a perdu la force de réagir :

Les fantoches au pouvoir

On tétanisé sa résistance


Le mot « liberté » terrifie ces chiens 

Plus qu’un typhon qui se déchaîne

Sur une mer indomptable

Ils n’osent l’entendre, ni le chuchoter

Tant il déchire leurs tympans


Place Tiananmen

Des chars d’assauts téléguidés

Par des dirigeants psychopathes

Plus dangereux que des fous

Ont tué des étudiants

Qui aspiraient à la liberté


S’il fallait qu’un seul Chinois soit libre

Qu’il puisse rêver 

Et respirer sans entrave

Leur empire s’écroulerait

Tel un château de sable

Avec la muraille de Chine


En ce pays-prison

Les écrivains vivent

En résidence surveillée

Par des caméras du Parti

Elles mêmes épiées par d’autres caméras




jeudi 6 octobre 2022

dimanche 11 septembre 2022

Si on s'épousait Antoinette de la petite vertu ?

 


Et si on s'épousait ( s'époussait... se poussait !) On rit, mais c'est loin d'être drôle, n'est-ce pas Madame X,Y et Z ?

vendredi 9 septembre 2022

Le combat de coqs


 Ça ressemble aux élections...

lundi 5 septembre 2022

samedi 27 août 2022

jeudi 25 août 2022

Le gros Léon


 Le gros Léon vient de manger de la poutine (qui apparaît en arrière-plan) et avant de la vomir (ce qui arrive inévitablement quand on bouffe ce fumier du jour dans un resto), il voudrait que cette image alimentaire fasse l'objet d'un dessin... Allez savoir pourquoi ? Réponse: pour nourrir l'auteur... (rires).


mardi 23 août 2022

Le voyageur incertain

 Le voyageur incertain




Je suis un frêle esquif

Qui glisse dans l'espace

Prisonnier de la planète Terre

Depuis ma naissance


J'ai foulé de mes pieds

le tapis vert, orangé,

blanc ou marbré

des saisons


Je m'émerveille

des sculptures ahurissantes

et des tableaux fabuleux

que font en pleine liberté artistique

les nuages

Je vois la mer qui m'allaite

depuis ma naissance

le vert des forêts et des paysages

et j'ignore précisément

où va ma route

tellement elle est capricieuse


L'univers s'ouvre avec largesse

à ma parole

Sans qu'aucun mot que j'emploie

ne soit flétri ou souillé

par ces nouveaux Croisés du verbe

ces hypocrites, ces puritains, ces peureux

souvent Anglo-Saxons

parfois Chinois

qui attaquent sauvagement certains mots

comme les vocables « nègres », « liberté », « démocratie »

à la manière de voyous

qui assènent des coups de couteaux

pour déchirer des tableaux de maîtres

Et s'ils les impriment dans leurs journaux

en troquant leurs lettres

ou s'ils les disent en les prononçant à voix basse

c'est pour les présenter

sous le voile et le corset de la censure


Même certaines universités se sont déshonorées

en adoptant cette attitude puérile


J'ai soixante-seize années

tatouées sur mon corps

Je ne contrôle ni mon sommeil,

ni mes idées, ni mes dessins,

ni mon emploi du temps,

ni mes maux corporels

ni parfois mon vague à l'âme


Naguère le domaine de la Justice

Allumait mes passions

Mais les manipulateurs du droit

Juges, avocats et rapaces

m'ont prouvé hors de tout doute raisonnable

que la Justice et le droit faisaient

depuis longtemps chambre à part


Que reste-t-il de mon éducation?

De mes professeurs qui m'ont répété

Mille fois les idées des autres

en me servant leur petit plat

de bouts de saucisses coupées d'avance?


Où sont mes parents

que j'ai tant aimés?

Pourquoi sont-ils enveloppés

d'un si lourd brouillard?


Et mes amours passagères

aux multiples prénoms

depuis longtemps

Ont fui

comme une symphonie

inachevée


Je suis la feuille blanche

que je noircis

à l'instant


Que fais-je dans cet univers

trop grand pour moi

comme un manteau de riche

qu'on donne à un pauvre?


J'ai perdu mes repères

Et même si je pleurais

toutes mes larmes

seraient asséchées

par le vent qui passe

Je pourrais crier

mais ma voix s'étend

d'une demi-lieue à peine

je voudrais m'évader

de cette Terre

mais personne ne sort

de cette prison si grande

si vaste, si lointaine

appelée l'Univers


Je rassemble mes forces

Je regarde qui je suis

Je constate que je fais partie

de la vie


Alors, mon fardeau s'amenuise

et ce monde m'émerveille


J'admire la luminosité des fleurs,

le chant craintif de l'oiseau


L'air me calme et me rassure

J'enlace les arbres

qui sont plus seuls que moi


Je touche aux plantes et aux fleurs


Et l'idée que je suis sur la Terre

que je m'ennuie

que j'étouffe

que je pleure


S'évanouit...


Denis Rheault

denisro101@gmail.com

Trois-Rivières, le 23 août 2022

lundi 22 août 2022

Dans le Nord


 Et pendant ce temps-là, ça fond dans le Nord...

Faites un clic sur l'image pour avoir une meilleure vue d'ensemble.

vendredi 12 août 2022

dimanche 7 août 2022

Simple flirt à l'aurore...


 Note : faites un clic au milieu de l'image pour l'agrandir.

samedi 6 août 2022

Les délicates relations mère-fille


 Par quoi allons-nous commencer chère maman !

vendredi 5 août 2022

Le moment fatal...


Madame, désirez-vous prendre pour époux Lucien Le Fainéant, un alcoolique, un bon à rien, un fonctionnaire des affaires culturelles, pour vivre le pire cauchemar que vous puissiez imaginer ?

mercredi 20 juillet 2022

L'été prend ses aises


Et j'en suis fort aise... Je pense aux vacances (pour ceux qui pourront s'en payer), les autres (comme moi) : « Fichez-nous la paix ! disent les politiciens, mais votez pour moi ! » Vont-ils être réélus ? Comme dirait le souteneur des putes de mon quartier : « Leur peau vaut pas cher ! »

samedi 16 juillet 2022

Les Ballets Québécois


 Note: Faites un clic sur l'image pour mieux voir le dessin.

mercredi 13 juillet 2022

Le mot liberté


 











Le mot liberté qui fait peur aux Chinois englués dans leur pâté chinois comme le mot nègre fait peur aux Anglo-Saxons englués dans leur petitesse cérébrale...

samedi 2 juillet 2022

Coup dur

 Coup dur



Une nuit beaucoup

Plus longue

Qu'une autre nuit


L'éclat d'une voix amoureuse

Qui rit comme un soleil

Une présence chaude et douce


Plus rien


À minuit trente-sept

Diane a fui


Dans sa chambre d'hôpital

Elle a oublié d'emmener son corps

qui reste là inerte et cancéreux


Ma douleur fait éclater

Le mur de ma peine


Je voudrais la rattraper

Dans son voyage

Pour lui dire : « Je t'aime!»


Mais aucun avion n'est admis

dans cette zone

jeudi 30 juin 2022

Un citoyen bien ordinaire


Qui vit quelque part, qui ne fait pas de vague et qui s'interroge sur la suite mystérieuse des choses ...

lundi 27 juin 2022

Un petit tour dans le Nord


 Faites un clic sur l'image pour l'agrandir

lundi 13 juin 2022

Un théâtre futuriste


 Ce soir, on joue « On ne badine pas avec l'amour! ». Sortez vos mouchoirs !

dimanche 5 juin 2022

Fleur mystérieuse...


 Faites un clic sur l'image pour l'agrandir

vendredi 3 juin 2022

Révolte en Haîti


 Faites un clic sur l'image pour l'agrandir.

samedi 28 mai 2022

Lara, mon amour !


 Robert est amoureux fou de Lara, son aînée de quarante-quatre ans. Il est tombé en tendresse avec son compte en banque !

(Dans la réalité, ça n'arrive jamais, presque pas, si peu, enfin... rarement!)

dimanche 22 mai 2022

Au Sud, il faut aller au Sud, ma chère!


 Ne faut-il pas, comme disent les buveurs d'eau chaude ?

Faites un clic au centre de l'image pour l'agrandir.

samedi 30 avril 2022

Oiseaux en amour...


 Le printemps, c'est un peu leur Noël...

Faites un clc sur l'image pour entrer dans leur monde...

dimanche 24 avril 2022

Oiseau planeur


 Faites un clic sur l'image pour l'agrandir

vendredi 15 avril 2022

Se remettre sur les rails...

 


Tout homme souffre : c'est la loi humaine. La souffrance fait partie de la nature de l'homme qui éprouve de la peine, souffre dans son corps et dans son âme, qui vit dans l'inquiétude, dans l'anxiété, qui ressent de la peur, qui est envahi par des idées noires, secoué par des obsessions, qui est en proie à la colère ou qui éprouve une infinie tristesse.

Les jours s'écoulent tantôt bons, tantôt mauvais. S'ils sont bons, la vie devient plus facile. S'ils sont mauvais, on doit se battre pour s'en sortir et souvent on a besoin d'aide. Ce peut être un ami, un confident, qui nous aide à nous remettre sur la piste ou bien nous choisissons de recourir aux médicaments de l'âme ou du corps, de noyer dans l'alcool notre misère ou de recourir aux mirages du sexe.

Or, les médicaments, de même que l'alcool, entraînent une dépendance physique ou psychique de sorte que nous ne sommes pas sortis du bois!

L'idéal, quand la vie est difficile, quand on se sent mal dans notre peau, c'est de demander de l'aide à quelqu'un qui écoutera notre peine pour nous soulager par sa seule présence ou qui, comme un ami, nous stimulera par ses suggestions positives, ses encouragements qui nous aideront à sortir de nous-même.

L'âge accentue nos souffrances, car notre corps ne répond plus promptement par la sève de la jeunesse.

Les jours bons, au contraire, vont nous permettre de recharger nos batteries, de refaire le plein d'énergie en aérant notre âme et notre corps.

Pour cela, on peut compter sur la nature environnante qui va nous régénérer, nous aider à refaire nos forces par l'oxygène que l'on respire.

Si vous allez mal, si vous ressentez des malaises, des sensations pénibles, le meilleur hôpital au monde, le plus efficace, le plus rapide, c'est la nature. Marchez à l'extérieur assez longtemps pour que le baume de la nature vous enveloppe : cette activité physique, qui vous oblige à bouger, va vous stimuler. Aucun produit chimique existant, aucune pilule, ni aucun médecin même le plus compétent, ne peut supplanter la nature pour permettre au corps de se rétablir.

Agissez, marchez : en avant toute !

mercredi 23 mars 2022

Oisi oiseau


 Note : faites un clic sur l'image pour l'agrandir.

samedi 26 février 2022

Cuba libre


Souvenir de Cuba.

Faites un clic sur l'image pour l'agrandir.

vendredi 25 février 2022

Sculpture du printemps

 

Sculpture qui me rappelle une amoureuse (du temps où j'en avais !).

Pour agrandir, faites un clic au centre de l'image.

mardi 15 février 2022

Mon refuge virtuel

 


Mon refuge virtuel en temps de pandémie.

vendredi 4 février 2022

Anita


 La croisière s'amuse...

mercredi 19 janvier 2022

dimanche 9 janvier 2022

Un amour éternel

 

    – Quelle belle soirée nous avons passée, François, mon amour!

    – Je ne m'appelle pas François.

    – Ah! tu sais que je t'aime. Je n'aime que toi. Tu es le premier homme de ma vie. Je voudrais vivre avec toi éternellement. Je suis si heureuse avec toi, mon Luc.

    – Mon Luc ? Ce n'est pas mon prénom! C'est celui de ton premier mari, tu dois sûrement y penser encore ?

    – Jamais. Je ne pense jamais à lui. Sauf les longs jours gris. Les jours bleus. Les journées de tempêtes. Les soirées qui s'allongent. Les dimanches qui s'ennuient comme une grand- messe. Je te le jure sur la tête de ma mère qui, je l'espère, va bientôt décéder, que cet homme, je l'ai rayé de ma vie. Complètement. Crois-moi, je te dis la vérité, Robert.

    – Robert, tu te trompes de prénom? Tu m'as déjà dit que c'était l'amant que tu avais eu avant moi et que j'étais le premier homme de ta vie.

    - Je t'ai dit la vérité. Tu étais le premier après François, Luc, Paul, René, Louis. Je ne m'en souviens plus... Je suis encore vierge, tu sais. Je me suis réservée pour toi. Je suis une femme fidèle, l'oublierais-tu? Je ne tolère pas qu'on mette en doute mon honnêteté. Notre amour, Hector, sera éternel. Je t'en fais solennellement la promesse.

    - Je ne m'appelle pas Hector...

lundi 3 janvier 2022

Aldéric le draveur


 Mon père a travaillé comme draveur durant sa jeunesse. Dans l'année qui vient de se terminer, j'ai réalisé une courte vidéo dans laquelle je le représente en action pour lui rendre hommage. L'image que vous apercevez est tirée de cette vidéo et j'ai fait le rendu en bleu gris.

samedi 1 janvier 2022