dimanche 17 novembre 2019

Joanie du matin




Comme si elle lançait
Un bouquet de bonheur
À ses amis
Joanie sourit

Elle porte une robe bleue
Un peu romantique
Un peu pâle

Elle est triste
Mais sa tristesse ne résonne
Qu'aux âmes sensibles
À la musique de son coeur

C'est le matin
Et le soleil se cache
Sous des feuilletés de voiles

Le silence flotte
Dans ces lieux
Comme une nappe de brouillard
Au-dessus d'une clairière

Joanie, en hôtesse parfaite
Avec son regard paisible
Observe la scène

Elle attend le moment
D'allumer les discours

Elle distribue des fleurs rouges
Aux invités
Et comme par magie
La conversation s'enflamme

La journée sera belle

Denis Rheault
Le dimanche 17 novembre 2019


mardi 8 octobre 2019

La romance automnale


Durant cette période, certains pratiquent la chasse. Moi, je préfère la chasse à Cupidon !

Note : faites un clic sur l'image pour l'agrandir.

mardi 6 août 2019

samedi 27 juillet 2019

vendredi 26 juillet 2019

Lucie, la tempête...



Je pense qu'elle brassait plus que la mer des Caraïbes durant une tempête!

mercredi 17 juillet 2019

Lucky Luke


J'adorais lire ces albums.

mardi 16 juillet 2019

L'été s'enfuit...



L'été s'enfuit déjà...

samedi 13 juillet 2019

Les oiseaux se cachent pour mourir



C'est ce qu'on prétend, mais ils vivent cachés le jour aussi. On ne sait pas comment ils passent leurs journées. Ils doivent faire du magasinage comme tout le monde...


jeudi 30 mai 2019

La belle Andrée


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J'avais classé la belle Andrée dans la catégorie des cinq semaines. Il ne faut pas effrayer la poule si l'on veut s'emparer de l'oeuf !
Première semaine : je lui mets la main sur l'épaule, gentiment. La belle ne montre aucune réticence. Excellent présage.
Deuxième semaine : je m'enhardis. J'ose lui glisser la paume de ma main dans le cou. Aucune réaction hostile. Tout va bien. Le domptage se déroule sans accroc.
Troisième semaine : je pousse l'audace à lui frôler un sein. La belle fait mine de rien. Excellent pour la suite.
Quatrième semaine : j'attaque la cuisse de la dame de la main ferme, assurée du patron d'usine. Aucun agacement de la belle. Merveilleux.
Cinquième semaine : je me dis « Ça y est! » Allons-y, peut-être pas pour toute la tourtière, il ne faut pas abuser, mais pour la pointe! Alors, je glisse ma main sous sa jupe. J'attends une fraction de seconde pour voir l'effet. La belle demeure impassible. Tout est jouable.
J'ai presque réussi et ma main poursuit sa route vers l'objectif recherché par tous les hommes et, à l'instant où je touche à la pointe tant convoitée, je reçois une superbe taloche en pleine figure.
Penaud, je retourne chez-moi précipitamment. Finalement, cette belle Andrée devait faire partie de la catégorie des quinze semaines. Je ne le saurai jamais!

mardi 28 mai 2019

Le Lauréat


Les bons souvenirs...

samedi 25 mai 2019

Jeu d'échecs Moderna 2019



Mes amis, je vous présente mon jeu d'échecs Moderna 2019
dans sa version finale.

samedi 18 mai 2019

Le Tue-secondes

Les cercles que vous touchez sont en Velcro


Chers amis, depuis le mois de janvier, j'ai fait des recherches sur la notion du temps. Et j'ai conçu trois outils : L'Horloge silencieuse ou Horloge Anti-stress (en carton rigide), le Croque-secondes qu'on met dans son porte-feuille et enfin le Tue-Secondes.
Aujourd'hui, je vous présente le dernier-né de la série, soit le Tue-Secondes : un objet complètement inutile et extrêmement pratique (!) qu'on peut utiliser en cas de stress, d'imsomnie ou généralement pour se détendre.
Vous pouvez vous procurer le Tue-Secondes en me faisant part de votre intérêt à mon adresse courriel qui apparaît sur l'image du Tue-Secondes. Je vous indiquerai de quelle façon vous pourrez le payer et je vous le ferai parvenir.
Dans les prochaines semaines, je vous présenterai les deux autres outils, l'Horloge Anti-stress et le croque-secondes.

Note : faites un clic sur l'image pour l'agrandir.


vendredi 17 mai 2019

Nikita

Elle m'est apparue ainsi la première fois...

vendredi 26 avril 2019

Coucher de soleil sous les Tropiques



« Et le soleil brillera demain » (Claude Gauthier)

jeudi 25 avril 2019

Michèle


Je commençais à m'ennuyer de vous autres...

dimanche 24 mars 2019

Alexandria


Même si j'essayais de vous faire croire que je n'aime pas les femmes...

dimanche 3 mars 2019

Dans les fonds marins


Ce matin,  je vous invite dans les fonds marins...

jeudi 28 février 2019

Les deux ados qui s'aiment



Nous avons l'intention de vivre ensemble...

La philosophie ...




Qu'en pensez-vous, mes crapauds ensorcelés ? 

vendredi 22 février 2019

mercredi 20 février 2019

La partie de hockey


Les Québécois y retrouvent leur bonne humeur...

samedi 16 février 2019

Et demain ???



Ah! mes amis, mes crapauds, mes frères, j'ai un secret de polichinelle que je tiens à vous faire partager. L'art moderne n'existe plus ; il est mort vers les années 80, de sa belle mort, en râlant dans le conformisme, et c'est tant mieux ! Il a été  remplacé, avantageusement, par une nouvelle forme d'expression artistique qui est née quelque part chez les inventeurs et créateurs du bazar numérique et qui s'exprime par des moyens d'expression nouveaux qui utilisent comme assises et exploitent l'ordinateur personnel et les nouveaux média... 
Un artiste créateur doit vivre, connaître et pratiquer l'Art et les techniques de son temps... et évoluer, sinon il ressasse toujours les mêmes affaires, se promène dans des sentiers battus, alors que l'art se renouvelle ; il a mille vies, il se meut, il change, il crée. Il explose de joie, en quelque sorte. On ne peut pas porter toujours les mêmes chaussettes, ça finit par sentir vieux ! EXIT l'art conceptuel, place au renouveau, place à l'imagination et à la créativité ! Vive l'ART NUMÉRIQUE !

dimanche 10 février 2019

mardi 5 février 2019

Le survivant


L'Homme face à son destin.

dimanche 3 février 2019

Merveilleuse Marie


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Le visage de Marie m'est apparu durant mon rêve et dès le lever, je prends la décision de lui envoyer un mot par lequel j'exprime mon désir de la revoir. Je ne l'ai jamais oubliée. Des égarements m'ont conduit entre les bras d'autres belles, j'ai erré de lits de servantes de curé en sommiers de nonnes de couvents bénis, mais cette nuit j'ai réalisé que Marie était la femme de ma vie. Alors, je m'empresse de terminer cette lettre si importante que je vais poster immédiatement. Je l'envoie par courrier spécial ; il faut battre le fer pendant qu'il est chaud! Et je retourne à la maison avec la certitude que j'aurai une réponse dans environ deux semaines, le temps que Marie se remémore les délicieux moments que nous avons passés ensemble et qu'elle m'écrive. Or, deux jours après l'envoi de ma missive, le postier m'apprend qu'un colis doit être livré chez moi ; il provient d'une expéditrice nommée Marie. Je me suis dit :« Marie est vraiment formidable, quelle femme merveilleuse, au lieu de me faire broyer du noir dans l'attente d'un signe de sa part, voilà qu'elle soulage mes appréhensions en me gratifiant d'une réponse rapide ». Léger, sautillant, joyeux et fier comme un curé qui vient de manger une saucisse avec un enfant de choeur, je vais à la poste chercher mon colis. Et je reviens à toute vitesse à la maison, anxieux de connaître sa réaction. « Formidable Marie, me suis-je dit, non seulement tu donnes rapidement signe de vie (ce qui est excellent pour moi) mais encore tu as la délicatesse d'ajouter un présent à ton envoi. Je t'adore! Je t'aime! et nos retrouvailles prochaines me remplissent de joie! Un grand amour ne s'éteint jamais. Marie, comme tu es lumineuse et extraordinaire! Tu es ma raison de vivre, ma divine inspiratrice, ma fée, ma muse, mon inséparable.» J'ouvre alors l'enveloppe délicatement et je sens le parfum raffiné de Marie (elle a tellement de goût pour choisir ses fragrances). Au fond du colis, il y a quelque chose que j'ai hâte de découvrir. Je plonge ma main au fond de l'enveloppe et développe le présent que je désirais tant et qui va sceller notre amour éternel. Avec empressement, je touche l'objet et je m'aperçois que c'est un poignard...


mardi 29 janvier 2019

Oie des neiges


Une photo, un peu étrange, que j'ai prise cet après-midi. La seule retouche que j'ai faite, c'est de rehausser le contraste.
Mode d'emploi : c'est l'effet des cristaux de glace sur la paroi d'un abri-bus.

samedi 26 janvier 2019

Ma chèvre cabossée


C'est à cela que je ressemblais à ma sortie du ring avec Lucie !!!

vendredi 25 janvier 2019

Les inséparables



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mercredi 23 janvier 2019

Valse des champignons


Une valse hésitation ?
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mardi 22 janvier 2019

Le bon maire


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C'était un mangeux de marde pas ordinaire celui qui dirigeait la marie de ma ville. On l'appelait monsieur le maire, par pure politesse, mais tous reconnaissaient le crétin sous l'enveloppe. Il avait truqué ses élections en copiant les passes des partis politiques classiques, spécialement celles des libéraux qui sont des mangeux de marde pas ordinaires. Aux élections, il achetait les votes, faisait voter les morts, les chiens, les secrétaires de curé sans culotte et même les poteaux de téléphone. Une fois élu, il débitait sa petite salade verte (il était écolo) dans la quelle il remerciait les bandits qui avaient travaillé pour lui, spécialement les ingénieurs et les avocats.
Sa femme, d'une rigueur et d'une fidélité irréprochables, pour faire prospérer les affaires de son mari, écartait les jambes sur demande. Elle avait pour client monsieur Ladouceur, un professeur d'université très distingué, qui trouvait son excitation dans les pantalons des jeunes hommes et enseignait la philosophie la plus cochonne qui soit, la grecque, celle de Platon, brune de préférence... Pour chasser l'ennui, il faisait son petit lavage personnel, qu'il appelait son numéro Deux, chaque soir, et le samedi (il l'avait bien mérité), la mairesse lui donnait un lavage plus complet, son numéro Un. Pendant cette opération vicieuse, la première dame, une femme pieuse, avant de lui brasser la queue, invoquait les saints qui apparaissent sur la liste des pervers, mieux connue sous le titre les Saintes litanies, sans oublier un petit coup de chapeau au Saint-Esprit qui, avec la complicité amusée de Marie, avait mis le chapeau et fait des cornes à Joseph Le Grand Naïf.
Le maire recevait à son bureau le docteur Savon, un de ses plus fidèles disciples, qui en avait marre de se faire donner des savons par sa femme, une furie prétentieuse, péteuse, merdeuse qu'il avait mariée pour sa beauté, en oubliant qu'elle avait aussi du caractère. Avec les années, sa beauté avait fané et son caractère avait pris de la force et poussé en graine de sorte que le docteur, au lieu d'une croix, portait sa pine comme une épine. Sa salope conjugale étudiait, elle aussi, la philosophie (celle du boudoir de Simone de Beauvoir), pour faire chier son mari. Et elle remplissait ses temps libres en suivant des cours d'équitation pour raffermir son cul qui avait foiré en vieillissant. Pour pratiquer ce sport, elle portait une queue de cheval ce qui faisait rager son mari dont le zizi, gras comme une sardine en boîte, ne pouvait rivaliser avec l'étalon. Aussi, avait-il le moral dans les talons. Il aurait bien divorcé et demandé ce cheval en mariage, s'il n'avait été pogné par l'étau des conventions sociales. Là, je retiens mon souffle, car c'est une histoire tellement désolante à raconter... N'est-elle pas trop dure envers les animaux? Vont-ils se plaindre pour cruauté auprès de la société protectrice des animaux contre les humains?
Ça mérite réflexion, et je vais attendre que le cheval ait les quatre fers en l'air avant d'aborder cet aspect délicat...

vendredi 18 janvier 2019

Le port de New York



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dimanche 13 janvier 2019

Fin de la pêche aux petits poissons des Chenaux


La pêche est finie, pourtant les cabanes n'ont
jamais été aussi remplies ; il n'y a plus de poissons, mais il reste encore de la bière.
La croisière s'amuse...

La rencontre



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jeudi 10 janvier 2019

Si léger et pourtant...

Léger, gracieux, élégant...

samedi 5 janvier 2019

La mariée prononce le « Oui » fatal...


Une des nombreuses raisons pour lesquelles je suis encore célibataire... Remarquez que je ne suis pas mieux ! (Rires...)

mercredi 2 janvier 2019

La lectrice


Soeur Dominique fait la lecture...


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