Réflexion sur la vie : Un matin de Noël

Des êtres qu'on aime profondément réchauffent nos cœurs par leur sourire magnifique qui éclate dans la « Brûlerie... » de la vie. Des êtres si fragiles qu'ils se protègent par des gestes forts, irréversibles.

Irréversibles ? Vraiment ? J'en doute, car je crois que le pardon n'existe précisément que pour les choses impardonnables. Serait-on allé trop loin ? L'être humain a le cœur large, plus vaste et plus généreux que les océans...

Souvent dans la vie, sans devoir piler sur son orgueil bien légitime, le seul fait de manifester même son ombre est déjà perçu comme un beau matin de Noël.

Le temps des pommes

En août, l'été fait glisser sa traînée de chaleur comme la mariée, une traînée, qui dit son OUI nuptial au curé personnellement, en bavant à son fiancé : « MON CHÉRI, JE TE DÉTESTE. »

Et il tombe dans les pommes...(rires)

Salutations aux amis de mon blogue

Entre deux traits de souris, je vous salue, mes braves!

Petit chien

Il y a des jours où une vie de chien ne paraît pas trop mal ? (comme dirait ma belle-mère).

Le pinson effarouché

La peur revêt plusieurs visages...

Nuit et brouillard

Je rêve... Des images sucrées de belles audacieuses s'aventurent sur mon écran intérieur. Me voilà marié : horreur ! Effroi ! Cauchemar!.. je suis obligé de me réveiller... mais je reste digne !..(rires)

Retour à l'école

Mélange de joie et d'inquiétude : on retrouve nos amis, mais qu'est-ce qui nous attend ? On va devoir se séparer de la belle Julie ou du moins espacer et refroidir nos élans amoureux qui gagnaient en fréquence et en chaleur...

Les glaneuses

Clin d'oeil à Jean-François Millet : vous ne trouvez pas que ça sent l'huile !

La commère

Elle a plus d'une flèche dans son arc...

Retrouvailles ?

Je m'ennuyais de vous, Internautes. J'ai passé la dernière année à étudier et à réaliser des travaux en 3D. Année fort bien remplie et satisfaisante, mais il me manquait votre présence ; cette petite touche qui agrémente mes journées et les remplit de soleil. Je compte bien revenir vous voir. À quelle fréquence ? Je ne sais, mon père, je n'ai jamais eu la maudite sainte contrition. (rires)