dimanche 10 septembre 2017

World Trade Center (dernier dessin)


Dernier dessin avant de mettre ce blogue en hibernation :

Après mûre réflexion pendant mes vacances estivales, j'en suis venu à la conclusion que je devais mettre ce blogue en hibernation ; c'est-à-dire qu'à compter d'aujourd'hui, je ne mettrai plus en ligne trois dessins par semaine.
Mon rythme de travail depuis mon arrivée à Montréal, il y a six ans, se composait de trois dessins chaque semaine sur mon blogue, des heures à étudier la 3D, des recherches graphiques et l'écriture de quelques textes qui apparaissent ci-haut sur mon blogue et que les Internautes pourront continuer de lire, même si en principe mon blogue est en hibernation.
Je dispersais mes forces et mon énergie au moment même où la 3D m'appelait de tous ses vœux et m'intéressait de plus en plus, et en même temps que surgissaient dans ma tête quantité de projets réalisables pour mon plus vif intérêt.
Je vais maintenant prendre plus de temps pour arpenter ces nouvelles avenues aussi créatrices en recherche graphique.
Alors, je vous laisse en vous disant peut-être « À bientôt ! », soit sur ce support ou ailleurs.
Je vous remercie de votre amitié et de vos nombreux encouragements qui m'ont été fort précieux. 
J'ai adoré faire ce blogue et je me sens prêt pour plus de liberté et de créativité. 
Mille fois merci à vous tous ! C'est une ode à la joie et non un Requiem !

vendredi 8 septembre 2017

Perdu en forêt


Étrange sensation qui m'est arrivée une fois : on se sent vraiment seul au monde et désemparé...

mardi 5 septembre 2017

Est-ce l'automne ?


Ce n'est pas de la tristesse, encore moins de la nostalgie ; ça ressemble étrangement au calme produit par la présence d'un lac, entouré d'arbustes, et d'une amie chère, tout près, qui livre quelques aveux chaleureux ou fait quelques confidences... Ce n'est pas l'été non plus, peut-être est-ce l'automne ?  

dimanche 3 septembre 2017

Le retour des pommes


Et le retour aux études. Je me souviens de cette période sombre qui marquait la fin de la liberté estivale et des vacances audacieuses parfois, qui faisaient saliver les curés, si on avait eu le bonheur de tomber en amour pendant l'été. Ils étaient frustrés ... les pauvres. Et s'il en reste (de cette engeance), ils le sont encore.