mardi 12 juillet 2016

La royauté telle qu'on ne vous l'a jamais racontée...



La royauté telle qu'on ne vous l'a jamais racontée...



La Reine chérissait les sapins bleus qui poussaient drus dans la colonie du Québec. Elle les affectionnait au point d'exiger que leurs membres lisses, en bois mou, servent d'appui pour enrouler ses grosses cuisses de vache lubrique quand elle pratiquait la danse du poteau, chaque nuit, dans la tiédeur de sa chambre, pendant que son fils chéri, qui avait des oreilles, mais des oreilles... et surtout des démangeaisons incestueuses envers elle, que la bienséance lui faisait réprimer dans son slip, l'observait simplement. Le prince aimait les sucettes et la compagnie des femmes mûres, dès qu'elles ressemblaient un peu à sa mère, qui du cul, qui du nez, qui du gras des jambes, et dans sa vie privée, qui était un tantinet publique, il avait jeté son dévolu sur une vieille aristocrate, une carcasse jaunie, une cerise des champs qui portait un nom de fleur fanée. 
Cette femme admirable était la Reine officielle du Canada. Belle merde !

dimanche 10 juillet 2016

Sapins, sapins, sapins...


On se croirait en Haute-Mauricie, au pays de la forêt dense et paisible. D'ailleurs là-bas, dans mes souvenirs (durant les étés de mon adolescence, je travaillais dans un camp de chasse et pêche et, plus tard, comme moniteur de tir à l'arc, moi qui manquais toujours mes cibles ! ) la forêt danse...

jeudi 7 juillet 2016

Marie est enceinte !


C'est vrai que la maternité embellit la femme...

mardi 5 juillet 2016

La danse des lutins


Peut-être aimerez-vous comme accompagnement ce petit régal de Schubert, la sonate D.960, interprétée par Claudio Arrau. Voix parfois éloignées l'une de l'autre, mais toujours complices qui cohabitent avec bonheur spécialement dans les notes graves.
De tous les instruments, le piano est mon préféré ( influence familiale?).


dimanche 3 juillet 2016

jeudi 30 juin 2016

L'oiseau blessé (vidéo)

J'ai fait cette petite animation sans prétention d'un oiseau blessé, me rappelant le magnifique poème de Francis Jammes, « La Prière » qui allait comme suit :

Par le petit garçon qui meurt près de sa mère
Tandis que des enfants s'amusent au parterre
Et par l'oiseau blessé qui ne sait pas comment
Son aile tout à coup s'ensanglante et descend...

Voici l'animation (après quelques secondes d'attente)
Cliquez deux fois sur le bouton triangulaire :