Quand un peuple choisit de se taire et de se faire diriger par un mouton, son avenir est en voie de désintégration. Jamais le Québec n’a autant piétiné sur le plan culturel depuis qu’un petit Saint-Jean-Baptiste, tout frisé comme une poupée, le dirige. Réfractaire à l’idée d’imposer la langue officielle du Québec, parlée par l’immense majorité des locuteurs, comme langue du travail, notre premier mouton est responsable du déclin de notre outil de communication. Son apathie et sa mollesse ont engendré une meute de petits moutons artistes, vouant toute leur créativité à bêler après des «suceventions», reléguant au statut de simple projet l’indépendance du Québec, naguère fer-de-lance de notre communauté québécoise.
Cerise sur le gâchis : la société Radio-Canada est devenue l’instrument de notre aliénation collective pour avoir choisi le Canada, le bilinguisme et la promotion de la culture anglaise lors de sa messe quotidienne, en matraquant le téléspectateur québécois, de reportages traduits par nos autochtones, vantant les mérites d’un pays qui n’est pas le nôtre, et de ce fait, leurrant le bon peuple qui croit que sa langue se porte bien.
Cerise sur le gâchis : la société Radio-Canada est devenue l’instrument de notre aliénation collective pour avoir choisi le Canada, le bilinguisme et la promotion de la culture anglaise lors de sa messe quotidienne, en matraquant le téléspectateur québécois, de reportages traduits par nos autochtones, vantant les mérites d’un pays qui n’est pas le nôtre, et de ce fait, leurrant le bon peuple qui croit que sa langue se porte bien.